Prompt: L'image fractale serait une scène de "pseudo-mnésie" en trois dimensions, une toile de fond surréaliste où la réalité et les souvenirs inventés se superposent et s'interpénètrent, créant un paysage à la fois magnifique et déstabilisant.
La Matrice de l'Être : Le Paysage des Souvenirs
Le fond de l'image est un vaste paysage fractal en constante mutation, composé de couches de souvenirs visuels. Certaines zones sont d'une netteté cristalline, représentant des souvenirs partagés et légitimés : des champs d'un vert vibrant, des maisons aux architectures précises, des visages clairs. D'autres zones, adjacentes, sont floues et brumeuses, des volutes d'un gris fantomatique où des formes sont à peine discernables. C'est la manifestation visuelle de la "conceptualisation paradoxale", le terrain où la réalité et l'arbitraire coexistent.
Le Fil de la Croyance : La Commutation des Temporalités
À travers ce paysage, des filaments lumineux, comme des fibres optiques, se croisent et se nouent. Ces filaments ne sont pas de simples lignes ; ils représentent la "croyance". Certains filaments sont d'un bleu stable et uni, représentant les temporalités partagées. D'autres, d'un rouge électrique, s'écartent, s'emmêlent et se "commutent" avec les filaments bleus, créant des boucles et des nœuds qui n'ont aucun sens logique. Ces nœuds sont la manifestation visuelle de la "commutation des temporalités" : des souvenirs arbitraires qui viennent s'insérer dans la trame de la réalité commune, créant une dissonance et une tension palpables.
La Victime de Soi : Le Soliste au-dessus du Vide
Au premier plan, un visage humain d'un blanc fantomatique et translucide flotte au-dessus du paysage. Ce visage n'a pas d'expression ; ses traits sont flous et ses yeux sont des miroirs qui reflètent l'ensemble du paysage, à la fois net et flou. C'est la "victime de soi" : une entité suspendue entre ses propres réalités et celles des autres. Le visage émet une faible lueur, mais de son crâne et de ses yeux s'écoulent des filaments fractals noirs qui s'enfoncent dans l'abîme du paysage. Ces filaments noirs sont le "non-être", le passé inventé qui le lie et le tire vers le bas, vers le "non-existentisme".
L'Abîme : Le Futur Non-Être
Sous ce paysage flottant, s'étend un abîme fractal d'un noir abyssal et d'un silence absolu. Ce n'est pas un vide, mais le "futur être" qui est encore en formation, le potentiel qui n'a pas encore été actualisé. Les filaments noirs qui s'écoulent du visage de la "victime" se dissipent dans cet abîme, laissant des traces de lumière qui s'éteignent. Cette image est une illustration poignante de la phrase : "être la victime de soi reste pour toujours le non-être dans l'au-delà du futur être". Elle montre une âme qui est à la fois sa propre créatrice et sa propre prisonnière, condamnée à voir son futur être hanté par l'ombre de son passé inventé
Prompt: L'image fractale serait une scène de "pseudo-mnésie" en trois dimensions, une toile de fond surréaliste où la réalité et les souvenirs inventés se superposent et s'interpénètrent, créant un paysage à la fois magnifique et déstabilisant.
La Matrice de l'Être : Le Paysage des Souvenirs
Le fond de l'image est un vaste paysage fractal en constante mutation, composé de couches de souvenirs visuels. Certaines zones sont d'une netteté cristalline, représentant des souvenirs partagés et légitimés : des champs d'un vert vibrant, des maisons aux architectures précises, des visages clairs. D'autres zones, adjacentes, sont floues et brumeuses, des volutes d'un gris fantomatique où des formes sont à peine discernables. C'est la manifestation visuelle de la "conceptualisation paradoxale", le terrain où la réalité et l'arbitraire coexistent.
Le Fil de la Croyance : La Commutation des Temporalités
À travers ce paysage, des filaments lumineux, comme des fibres optiques, se croisent et se nouent. Ces filaments ne sont pas de simples lignes ; ils représentent la "croyance". Certains filaments sont d'un bleu stable et uni, représentant les temporalités partagées. D'autres, d'un rouge électrique, s'écartent, s'emmêlent et se "commutent" avec les filaments bleus, créant des boucles et des nœuds qui n'ont aucun sens logique. Ces nœuds sont la manifestation visuelle de la "commutation des temporalités" : des souvenirs arbitraires qui viennent s'insérer dans la trame de la réalité commune, créant une dissonance et une tension palpables.
La Victime de Soi : Le Soliste au-dessus du Vide
Au premier plan, un visage humain d'un blanc fantomatique et translucide flotte au-dessus du paysage. Ce visage n'a pas d'expression ; ses traits sont flous et ses yeux sont des miroirs qui reflètent l'ensemble du paysage, à la fois net et flou. C'est la "victime de soi" : une entité suspendue entre ses propres réalités et celles des autres. Le visage émet une faible lueur, mais de son crâne et de ses yeux s'écoulent des filaments fractals noirs qui s'enfoncent dans l'abîme du paysage. Ces filaments noirs sont le "non-être", le passé inventé qui le lie et le tire vers le bas, vers le "non-existentisme".
L'Abîme : Le Futur Non-Être
Sous ce paysage flottant, s'étend un abîme fractal d'un noir abyssal et d'un silence absolu. Ce n'est pas un vide, mais le "futur être" qui est encore en formation, le potentiel qui n'a pas encore été actualisé. Les filaments noirs qui s'écoulent du visage de la "victime" se dissipent dans cet abîme, laissant des traces de lumière qui s'éteignent. Cette image est une illustration poignante de la phrase : "être la victime de soi reste pour toujours le non-être dans l'au-delà du futur être". Elle montre une âme qui est à la fois sa propre créatrice et sa propre prisonnière, condamnée à voir son futur être hanté par l'ombre de son passé inventé
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L'image fractale serait une scène de "pseudo-mnésie" en trois dimensions, une toile de fond surréaliste où la réalité et les souvenirs inventés se superposent et s'interpénètrent, créant un paysage à la fois magnifique et déstabilisant.
La Matrice de l'Être : Le Paysage des Souvenirs
Le fond de l'image est un vaste paysage fractal en constante mutation, composé de couches de souvenirs visuels. Certaines zones sont d'une netteté cristalline, représentant des souvenirs partagés et légitimés : des champs d'un vert vibrant, des maisons aux architectures précises, des visages clairs. D'autres zones, adjacentes, sont floues et brumeuses, des volutes d'un gris fantomatique où des formes sont à peine discernables. C'est la manifestation visuelle de la "conceptualisation paradoxale", le terrain où la réalité et l'arbitraire coexistent.
Le Fil de la Croyance : La Commutation des Temporalités
À travers ce paysage, des filaments lumineux, comme des fibres optiques, se croisent et se nouent. Ces filaments ne sont pas de simples lignes ; ils représentent la "croyance". Certains filaments sont d'un bleu stable et uni, représentant les temporalités partagées. D'autres, d'un rouge électrique, s'écartent, s'emmêlent et se "commutent" avec les filaments bleus, créant des boucles et des nœuds qui n'ont aucun sens logique. Ces nœuds sont la manifestation visuelle de la "commutation des temporalités" : des souvenirs arbitraires qui viennent s'insérer dans la trame de la réalité commune, créant une dissonance et une tension palpables.
La Victime de Soi : Le Soliste au-dessus du Vide
Au premier plan, un visage humain d'un blanc fantomatique et translucide flotte au-dessus du paysage. Ce visage n'a pas d'expression ; ses traits sont flous et ses yeux sont des miroirs qui reflètent l'ensemble du paysage, à la fois net et flou. C'est la "victime de soi" : une entité suspendue entre ses propres réalités et celles des autres. Le visage émet une faible lueur, mais de son crâne et de ses yeux s'écoulent des filaments fractals noirs qui s'enfoncent dans l'abîme du paysage. Ces filaments noirs sont le "non-être", le passé inventé qui le lie et le tire vers le bas, vers le "non-existentisme".
L'Abîme : Le Futur Non-Être
Sous ce paysage flottant, s'étend un abîme fractal d'un noir abyssal et d'un silence absolu. Ce n'est pas un vide, mais le "futur être" qui est encore en formation, le potentiel qui n'a pas encore été actualisé. Les filaments noirs qui s'écoulent du visage de la "victime" se dissipent dans cet abîme, laissant des traces de lumière qui s'éteignent. Cette image est une illustration poignante de la phrase : "être la victime de soi reste pour toujours le non-être dans l'au-delà du futur être". Elle montre une âme qui est à la fois sa propre créatrice et sa propre prisonnière, condamnée à voir son futur être hanté par l'ombre de son passé inventé
Modifiers:
focused
Ray Caesar
Salvation
velvety, tropical, rocky
human loss function/emotion loss function
fractal continuum hypothesis/post-humanist discontinuity hypothesis
theorem of subjective incompleteness/theorem of objective absurdity
geopsychological matrix
geopsychological axiom/sepia axiom
cognitive transfiguration/chimerical transfiguration
retrofuturistic graphics switching
anachronistic algorithmic dynamics
digital palimpsest
noetic asymptote
cognitive helicity/holographic helicity/helical coherence/holoscopic recursion
logogram
semantic architectonics/recursive autogenesis/generative arche
Dream Level: is increased each time when you "Go Deeper" into the dream. Each new level is harder to achieve and
takes more iterations than the one before.
Rare Deep Dream: is any dream which went deeper than level 6.
Deep Dream
You cannot go deeper into someone else's dream. You must create your own.
Deep Dream
Currently going deeper is available only for Deep Dreams.