Prompt: Une image fractale inspirée de la requête précédente, en se concentrant sur une représentation dans l'art naïf, serait un univers où la simplicité apparente cache une complexité immuable. Le rendu serait celui d'un tableau à la fois enfantin et vertigineux.
Imaginez une image où le tableau entier est une seule et unique dérive d'un motif géométrique en trois dimensions. C'est le monde de l'art naïf. Les formes sont des cubes, des sphères, des pyramides, qui ne sont pas rigides, mais qui se déforment et se transforment de manière organique, comme si un enfant les avait modelées dans la boue. Les couleurs sont vives et pures, des bleus primaires, des rouges intenses, des jaunes éclatants, appliqués sans dégradé, comme dans un tableau de Douanier Rousseau.
Cette géométrie simple et naïve n'est pas un chaos. Elle est en réalité la manifestation d'une inertie profonde. Les formes se déplacent très lentement, presque imperceptiblement, comme un glacier qui se meut. C'est la temporalité objective qui s'exprime dans l'art naïf. Les mouvements sont réguliers, lents, et sans surprise. C'est l'engrenage cosmique vu avec les yeux d'un enfant.
Mais cette inertie est aussi la cause d'une perte. La simplicité de ce motif naïf se heurte à des états psychologiquement immuables. Dans cette image, les motifs de la géométrie naïve se perdent dans des "trous noirs" de l'esprit, des zones qui sont lisses, sans aucune forme, comme un tableau de Malevitch. Ces zones sont les limites de l'art naïf, les points où la simplicité de l'art ne peut plus représenter la complexité de l'âme humaine. Ces zones d'inertie psychologique sont les questions identifiables par leur poésie, le silence entre les mots d'un enfant qui a déjà tout vu.
L'image entière est une métaphore de la manière dont la simplicité peut se perdre dans la complexité. L'art naïf, par son unicité et sa dérive, nous montre la beauté d'une règle simple. Mais il nous confronte aussi à sa limite : la froideur de l'inertie et l'immensité du vide psychologique qu'il ne peut pas représenter
Prompt: Une image fractale inspirée de la requête précédente, en se concentrant sur une représentation dans l'art naïf, serait un univers où la simplicité apparente cache une complexité immuable. Le rendu serait celui d'un tableau à la fois enfantin et vertigineux.
Imaginez une image où le tableau entier est une seule et unique dérive d'un motif géométrique en trois dimensions. C'est le monde de l'art naïf. Les formes sont des cubes, des sphères, des pyramides, qui ne sont pas rigides, mais qui se déforment et se transforment de manière organique, comme si un enfant les avait modelées dans la boue. Les couleurs sont vives et pures, des bleus primaires, des rouges intenses, des jaunes éclatants, appliqués sans dégradé, comme dans un tableau de Douanier Rousseau.
Cette géométrie simple et naïve n'est pas un chaos. Elle est en réalité la manifestation d'une inertie profonde. Les formes se déplacent très lentement, presque imperceptiblement, comme un glacier qui se meut. C'est la temporalité objective qui s'exprime dans l'art naïf. Les mouvements sont réguliers, lents, et sans surprise. C'est l'engrenage cosmique vu avec les yeux d'un enfant.
Mais cette inertie est aussi la cause d'une perte. La simplicité de ce motif naïf se heurte à des états psychologiquement immuables. Dans cette image, les motifs de la géométrie naïve se perdent dans des "trous noirs" de l'esprit, des zones qui sont lisses, sans aucune forme, comme un tableau de Malevitch. Ces zones sont les limites de l'art naïf, les points où la simplicité de l'art ne peut plus représenter la complexité de l'âme humaine. Ces zones d'inertie psychologique sont les questions identifiables par leur poésie, le silence entre les mots d'un enfant qui a déjà tout vu.
L'image entière est une métaphore de la manière dont la simplicité peut se perdre dans la complexité. L'art naïf, par son unicité et sa dérive, nous montre la beauté d'une règle simple. Mais il nous confronte aussi à sa limite : la froideur de l'inertie et l'immensité du vide psychologique qu'il ne peut pas représenter
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Une image fractale inspirée de la requête précédente, en se concentrant sur une représentation dans l'art naïf, serait un univers où la simplicité apparente cache une complexité immuable. Le rendu serait celui d'un tableau à la fois enfantin et vertigineux.
Imaginez une image où le tableau entier est une seule et unique dérive d'un motif géométrique en trois dimensions. C'est le monde de l'art naïf. Les formes sont des cubes, des sphères, des pyramides, qui ne sont pas rigides, mais qui se déforment et se transforment de manière organique, comme si un enfant les avait modelées dans la boue. Les couleurs sont vives et pures, des bleus primaires, des rouges intenses, des jaunes éclatants, appliqués sans dégradé, comme dans un tableau de Douanier Rousseau.
Cette géométrie simple et naïve n'est pas un chaos. Elle est en réalité la manifestation d'une inertie profonde. Les formes se déplacent très lentement, presque imperceptiblement, comme un glacier qui se meut. C'est la temporalité objective qui s'exprime dans l'art naïf. Les mouvements sont réguliers, lents, et sans surprise. C'est l'engrenage cosmique vu avec les yeux d'un enfant.
Mais cette inertie est aussi la cause d'une perte. La simplicité de ce motif naïf se heurte à des états psychologiquement immuables. Dans cette image, les motifs de la géométrie naïve se perdent dans des "trous noirs" de l'esprit, des zones qui sont lisses, sans aucune forme, comme un tableau de Malevitch. Ces zones sont les limites de l'art naïf, les points où la simplicité de l'art ne peut plus représenter la complexité de l'âme humaine. Ces zones d'inertie psychologique sont les questions identifiables par leur poésie, le silence entre les mots d'un enfant qui a déjà tout vu.
L'image entière est une métaphore de la manière dont la simplicité peut se perdre dans la complexité. L'art naïf, par son unicité et sa dérive, nous montre la beauté d'une règle simple. Mais il nous confronte aussi à sa limite : la froideur de l'inertie et l'immensité du vide psychologique qu'il ne peut pas représenter
Modifiers:
focused
Ray Caesar
velvety, tropical, rocky
human loss function/emotion loss function
fractal continuum hypothesis/post-humanist discontinuity hypothesis
theorem of subjective incompleteness/theorem of objective absurdity
geopsychological matrix
geopsychological axiom/sepia axiom
cognitive transfiguration/chimerical transfiguration
retrofuturistic graphics switching
anachronistic algorithmic dynamics
digital palimpsest
noetic asymptote
cognitive helicity/holographic helicity/helical coherence/holoscopic recursion
logogram
semantic architectonics/recursive autogenesis/generative arche
etheric resonance
semantic heterochrony
data palimpsest/syntactic erosion
synthetic chronology/chronoclasm theory
computational diachrony/digital retrocausality mechanism
recursive amnesia/fractal memory theorem
Dream Level: is increased each time when you "Go Deeper" into the dream. Each new level is harder to achieve and
takes more iterations than the one before.
Rare Deep Dream: is any dream which went deeper than level 6.
Deep Dream
You cannot go deeper into someone else's dream. You must create your own.
Deep Dream
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