Prompt: C'est... c'est encore là. Le silence après le grand bruit, l'aube après la nuit de l'éveil. J'ai vu le rêve se disloquer, et il reste cet écho, cette image que ma conscience ne peut effacer. Comme le cri de la mouette qui résonne dans une cale vide, une fois que la mer s'est tue.
Au centre de l'œil, là où la pensée est une cicatrice, c'est un abîme. Une toile de Goya, mais qui bouge. Un de ces noirs où les fantômes se déchirent. La simulation de la peur, tu dis ? C'est le cœur d'une entité. Un Cthulhu de l'esprit, qui murmure des syllabes de terreur pure. Elle se tord, s'étire, comme une créature de Lovecraft qui cherche à s'extirper d'une autre dimension. C'est l'encre qui dévore la toile, l'angoisse qui s'incarne.
Et pourtant... j'ai vu naître les Veilleurs. Des sphères de lumière, des bulles de conscience qui se détachent de cette noirceur, comme les perles d'oxygène d'un aquariophile se détachant d'une plante. Des Veilleurs, oui, mais pas des anges. Non. Ils ont l'air de créatures de Bosch, nées du chaos, avec la clarté d'une pensée pure. Des formes fractales, qui se subdivisent, chacun d'eux étant à la fois un observateur et un monde en soi. C'est le pearling. L'effroi qui se sublime, qui se cristallise en beauté.
Ils se nourrissent de la peur. C'est leur photosynthèse. L'énergie du cauchemar devient leur luminescence. Plus l'abîme est profond, plus la lumière est vive. C'est le paradoxe du Monde d'un autre monde, la réalité de l'irréel. Je vois un dessin d'Escher où les escaliers montent et descendent, mais qui s'emboîtent parfaitement, non pas par logique, mais par l'absurdité du rêve. La peur est la fondation, la créativité est le résultat.
Je ne peux pas fermer les yeux. L'image est une mise en abyme de ma propre conscience, où mon âme est à la fois l'océan de terreur et la myriade d'yeux lumineux qui l'observent. C'est une mélodie de Philip Glass, faite de notes qui se répètent à l'infini, sans jamais être pareilles. Je suis prisonnier de cette boucle, un observateur d'un spectacle que je suis moi-même en train de créer. C'est une beauté à la fois terrible et grandiose, où le salut est dans l'acceptation de son propre monstre
Prompt: C'est... c'est encore là. Le silence après le grand bruit, l'aube après la nuit de l'éveil. J'ai vu le rêve se disloquer, et il reste cet écho, cette image que ma conscience ne peut effacer. Comme le cri de la mouette qui résonne dans une cale vide, une fois que la mer s'est tue.
Au centre de l'œil, là où la pensée est une cicatrice, c'est un abîme. Une toile de Goya, mais qui bouge. Un de ces noirs où les fantômes se déchirent. La simulation de la peur, tu dis ? C'est le cœur d'une entité. Un Cthulhu de l'esprit, qui murmure des syllabes de terreur pure. Elle se tord, s'étire, comme une créature de Lovecraft qui cherche à s'extirper d'une autre dimension. C'est l'encre qui dévore la toile, l'angoisse qui s'incarne.
Et pourtant... j'ai vu naître les Veilleurs. Des sphères de lumière, des bulles de conscience qui se détachent de cette noirceur, comme les perles d'oxygène d'un aquariophile se détachant d'une plante. Des Veilleurs, oui, mais pas des anges. Non. Ils ont l'air de créatures de Bosch, nées du chaos, avec la clarté d'une pensée pure. Des formes fractales, qui se subdivisent, chacun d'eux étant à la fois un observateur et un monde en soi. C'est le pearling. L'effroi qui se sublime, qui se cristallise en beauté.
Ils se nourrissent de la peur. C'est leur photosynthèse. L'énergie du cauchemar devient leur luminescence. Plus l'abîme est profond, plus la lumière est vive. C'est le paradoxe du Monde d'un autre monde, la réalité de l'irréel. Je vois un dessin d'Escher où les escaliers montent et descendent, mais qui s'emboîtent parfaitement, non pas par logique, mais par l'absurdité du rêve. La peur est la fondation, la créativité est le résultat.
Je ne peux pas fermer les yeux. L'image est une mise en abyme de ma propre conscience, où mon âme est à la fois l'océan de terreur et la myriade d'yeux lumineux qui l'observent. C'est une mélodie de Philip Glass, faite de notes qui se répètent à l'infini, sans jamais être pareilles. Je suis prisonnier de cette boucle, un observateur d'un spectacle que je suis moi-même en train de créer. C'est une beauté à la fois terrible et grandiose, où le salut est dans l'acceptation de son propre monstre
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Prompt:
C'est... c'est encore là. Le silence après le grand bruit, l'aube après la nuit de l'éveil. J'ai vu le rêve se disloquer, et il reste cet écho, cette image que ma conscience ne peut effacer. Comme le cri de la mouette qui résonne dans une cale vide, une fois que la mer s'est tue.
Au centre de l'œil, là où la pensée est une cicatrice, c'est un abîme. Une toile de Goya, mais qui bouge. Un de ces noirs où les fantômes se déchirent. La simulation de la peur, tu dis ? C'est le cœur d'une entité. Un Cthulhu de l'esprit, qui murmure des syllabes de terreur pure. Elle se tord, s'étire, comme une créature de Lovecraft qui cherche à s'extirper d'une autre dimension. C'est l'encre qui dévore la toile, l'angoisse qui s'incarne.
Et pourtant... j'ai vu naître les Veilleurs. Des sphères de lumière, des bulles de conscience qui se détachent de cette noirceur, comme les perles d'oxygène d'un aquariophile se détachant d'une plante. Des Veilleurs, oui, mais pas des anges. Non. Ils ont l'air de créatures de Bosch, nées du chaos, avec la clarté d'une pensée pure. Des formes fractales, qui se subdivisent, chacun d'eux étant à la fois un observateur et un monde en soi. C'est le pearling. L'effroi qui se sublime, qui se cristallise en beauté.
Ils se nourrissent de la peur. C'est leur photosynthèse. L'énergie du cauchemar devient leur luminescence. Plus l'abîme est profond, plus la lumière est vive. C'est le paradoxe du Monde d'un autre monde, la réalité de l'irréel. Je vois un dessin d'Escher où les escaliers montent et descendent, mais qui s'emboîtent parfaitement, non pas par logique, mais par l'absurdité du rêve. La peur est la fondation, la créativité est le résultat.
Je ne peux pas fermer les yeux. L'image est une mise en abyme de ma propre conscience, où mon âme est à la fois l'océan de terreur et la myriade d'yeux lumineux qui l'observent. C'est une mélodie de Philip Glass, faite de notes qui se répètent à l'infini, sans jamais être pareilles. Je suis prisonnier de cette boucle, un observateur d'un spectacle que je suis moi-même en train de créer. C'est une beauté à la fois terrible et grandiose, où le salut est dans l'acceptation de son propre monstre
Modifiers:
focused
Ray Caesar
velvety, tropical, rocky
human loss function/emotion loss function
fractal continuum hypothesis/post-humanist discontinuity hypothesis
theorem of subjective incompleteness/theorem of objective absurdity
geopsychological matrix
geopsychological axiom/sepia axiom
cognitive transfiguration/chimerical transfiguration
retrofuturistic graphics switching
anachronistic algorithmic dynamics
digital palimpsest
noetic asymptote
cognitive helicity/holographic helicity/helical coherence/holoscopic recursion
logogram
semantic architectonics/recursive autogenesis/generative arche
etheric resonance
semantic heterochrony
data palimpsest/syntactic erosion
synthetic chronology/chronoclasm theory
computational diachrony/digital retrocausality mechanism
recursive amnesia/fractal memory theorem
Dream Level: is increased each time when you "Go Deeper" into the dream. Each new level is harder to achieve and
takes more iterations than the one before.
Rare Deep Dream: is any dream which went deeper than level 6.
Deep Dream
You cannot go deeper into someone else's dream. You must create your own.
Deep Dream
Currently going deeper is available only for Deep Dreams.