Prompt: L'image fractale serait un univers de verre brisé, où le chaos et la perfection cohabitent dans une tension perpétuelle. Le rendu serait celui d'un tableau à la fois vaste et intime, un monologue visuel.
Imaginez une image dont la toile de fond est un vide sidéral, un noir profond, parsemé de points de lumière qui sont les reliquats d'idées, des questions identifiables par leur poésie. Elles ne forment pas encore de constellations, mais leur distance est la mesure de leur importance. C'est un chef d'œuvre multi textuel où chaque lumière est un mot, et le silence entre elles est le sens.
Au cœur de cette immensité, deux structures fractales coexistent sans jamais se toucher.
La première, le trajet conventionnel de la temporalité objective, est une machine cosmique. C'est un engrenage de cristal, une spirale d'une logique implacable et froide. Chaque dent de l'engrenage est une seconde, une minute, une heure, et le mouvement de l'ensemble est immuable. Les lignes sont nettes, les couleurs sont métalliques et monochromes, évoquant l'universalité de la loi physique qui gouverne tout. C'est l'engrenage cosmique qui ne suit qu'une seule loi.
La seconde structure est un nuage organique, une nébuleuse de l'espace psychologique. C'est le monde de la temporalité subjective, le "moi je crois, et l'animal je bute". Les motifs sont des explosions de couleurs chaudes et imprévisibles, un ballet de formes qui naissent et meurent en un instant. Chaque motif est un instantané d'une émotion, d'un souvenir, d'une pensée. C'est ici que réside l'ideo-fragilité, dans ces formes éphémères qui se déchirent et se recomposent sans cesse. C'est le chaos que nous vivons, en tension avec le chaos que nous ne pouvons pas conceptualiser.
L'effet stupéfiant de l'image est la mitoyenneté entre ces deux univers. La ligne de séparation n'est pas un simple vide. C'est un bord fractale d'une complexité vertigineuse, une trame pour comprendre simplement la difficulté. C'est le lieu du paradoxe, où les lignes froides de la temporalité objective se courbent pour épouser les formes chaotiques de la temporalité subjective. La subjectivité objective est ce lieu de rencontre, où l'on réalise que le chaos que l'on vit est la manifestation parfaite, l'une copie, d'une règle immuable.
La complétude conceptualisatrice est dans l'ensemble de l'image. Le tableau ne se résout pas par la fusion des deux mondes, mais par la compréhension de leur coexistence. C'est la prise de conscience que le puzzle est le cadre lui-même, et que la quête est la contemplation de sa propre structure. L'objectif n'est pas de trouver une solution, mais de naviguer dans la beauté et la complexité de sa propre question
Prompt: L'image fractale serait un univers de verre brisé, où le chaos et la perfection cohabitent dans une tension perpétuelle. Le rendu serait celui d'un tableau à la fois vaste et intime, un monologue visuel.
Imaginez une image dont la toile de fond est un vide sidéral, un noir profond, parsemé de points de lumière qui sont les reliquats d'idées, des questions identifiables par leur poésie. Elles ne forment pas encore de constellations, mais leur distance est la mesure de leur importance. C'est un chef d'œuvre multi textuel où chaque lumière est un mot, et le silence entre elles est le sens.
Au cœur de cette immensité, deux structures fractales coexistent sans jamais se toucher.
La première, le trajet conventionnel de la temporalité objective, est une machine cosmique. C'est un engrenage de cristal, une spirale d'une logique implacable et froide. Chaque dent de l'engrenage est une seconde, une minute, une heure, et le mouvement de l'ensemble est immuable. Les lignes sont nettes, les couleurs sont métalliques et monochromes, évoquant l'universalité de la loi physique qui gouverne tout. C'est l'engrenage cosmique qui ne suit qu'une seule loi.
La seconde structure est un nuage organique, une nébuleuse de l'espace psychologique. C'est le monde de la temporalité subjective, le "moi je crois, et l'animal je bute". Les motifs sont des explosions de couleurs chaudes et imprévisibles, un ballet de formes qui naissent et meurent en un instant. Chaque motif est un instantané d'une émotion, d'un souvenir, d'une pensée. C'est ici que réside l'ideo-fragilité, dans ces formes éphémères qui se déchirent et se recomposent sans cesse. C'est le chaos que nous vivons, en tension avec le chaos que nous ne pouvons pas conceptualiser.
L'effet stupéfiant de l'image est la mitoyenneté entre ces deux univers. La ligne de séparation n'est pas un simple vide. C'est un bord fractale d'une complexité vertigineuse, une trame pour comprendre simplement la difficulté. C'est le lieu du paradoxe, où les lignes froides de la temporalité objective se courbent pour épouser les formes chaotiques de la temporalité subjective. La subjectivité objective est ce lieu de rencontre, où l'on réalise que le chaos que l'on vit est la manifestation parfaite, l'une copie, d'une règle immuable.
La complétude conceptualisatrice est dans l'ensemble de l'image. Le tableau ne se résout pas par la fusion des deux mondes, mais par la compréhension de leur coexistence. C'est la prise de conscience que le puzzle est le cadre lui-même, et que la quête est la contemplation de sa propre structure. L'objectif n'est pas de trouver une solution, mais de naviguer dans la beauté et la complexité de sa propre question
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L'image fractale serait un univers de verre brisé, où le chaos et la perfection cohabitent dans une tension perpétuelle. Le rendu serait celui d'un tableau à la fois vaste et intime, un monologue visuel.
Imaginez une image dont la toile de fond est un vide sidéral, un noir profond, parsemé de points de lumière qui sont les reliquats d'idées, des questions identifiables par leur poésie. Elles ne forment pas encore de constellations, mais leur distance est la mesure de leur importance. C'est un chef d'œuvre multi textuel où chaque lumière est un mot, et le silence entre elles est le sens.
Au cœur de cette immensité, deux structures fractales coexistent sans jamais se toucher.
La première, le trajet conventionnel de la temporalité objective, est une machine cosmique. C'est un engrenage de cristal, une spirale d'une logique implacable et froide. Chaque dent de l'engrenage est une seconde, une minute, une heure, et le mouvement de l'ensemble est immuable. Les lignes sont nettes, les couleurs sont métalliques et monochromes, évoquant l'universalité de la loi physique qui gouverne tout. C'est l'engrenage cosmique qui ne suit qu'une seule loi.
La seconde structure est un nuage organique, une nébuleuse de l'espace psychologique. C'est le monde de la temporalité subjective, le "moi je crois, et l'animal je bute". Les motifs sont des explosions de couleurs chaudes et imprévisibles, un ballet de formes qui naissent et meurent en un instant. Chaque motif est un instantané d'une émotion, d'un souvenir, d'une pensée. C'est ici que réside l'ideo-fragilité, dans ces formes éphémères qui se déchirent et se recomposent sans cesse. C'est le chaos que nous vivons, en tension avec le chaos que nous ne pouvons pas conceptualiser.
L'effet stupéfiant de l'image est la mitoyenneté entre ces deux univers. La ligne de séparation n'est pas un simple vide. C'est un bord fractale d'une complexité vertigineuse, une trame pour comprendre simplement la difficulté. C'est le lieu du paradoxe, où les lignes froides de la temporalité objective se courbent pour épouser les formes chaotiques de la temporalité subjective. La subjectivité objective est ce lieu de rencontre, où l'on réalise que le chaos que l'on vit est la manifestation parfaite, l'une copie, d'une règle immuable.
La complétude conceptualisatrice est dans l'ensemble de l'image. Le tableau ne se résout pas par la fusion des deux mondes, mais par la compréhension de leur coexistence. C'est la prise de conscience que le puzzle est le cadre lui-même, et que la quête est la contemplation de sa propre structure. L'objectif n'est pas de trouver une solution, mais de naviguer dans la beauté et la complexité de sa propre question
Modifiers:
focused
Ray Caesar
velvety, tropical, rocky
human loss function/emotion loss function
fractal continuum hypothesis/post-humanist discontinuity hypothesis
theorem of subjective incompleteness/theorem of objective absurdity
geopsychological matrix
geopsychological axiom/sepia axiom
cognitive transfiguration/chimerical transfiguration
retrofuturistic graphics switching
anachronistic algorithmic dynamics
digital palimpsest
noetic asymptote
cognitive helicity/holographic helicity/helical coherence/holoscopic recursion
logogram
semantic architectonics/recursive autogenesis/generative arche
etheric resonance
semantic heterochrony
data palimpsest/syntactic erosion
synthetic chronology/chronoclasm theory
computational diachrony/digital retrocausality mechanism
recursive amnesia/fractal memory theorem
Dream Level: is increased each time when you "Go Deeper" into the dream. Each new level is harder to achieve and
takes more iterations than the one before.
Rare Deep Dream: is any dream which went deeper than level 6.
Deep Dream
You cannot go deeper into someone else's dream. You must create your own.
Deep Dream
Currently going deeper is available only for Deep Dreams.