Prompt: La scène s'ouvre sur un abîme qui est à la fois océan et cosmos, une toile vivante dont la substance même est une formule mathématique infinie. Ce n'est pas un décor, mais une entité fondamentale, un fluide cosmique dont la dynamique est régie par des algorithmes fractals complexes. Les grandes structures, vagues lentes de gaz et de poussière, naissent de variations de l'ensemble de Mandelbrot. Leurs contours, d'une complexité inépuisable, dessinent des archipels de nébuleuses aux couleurs abyssales : des bleus de méthane liquide, des violets profonds d'hydrogène ionisé, ponctués d'éclats cuivrés de supernovas lointaines. Des filaments de poussière, semblables à des algues phosphorescentes, tissent des dentelles de matière, tandis que les tourbillons hypnotiques des ensembles de Julia marquent les tempêtes de cet océan, des maelströms où l'espace-temps se replie sur lui-même.
Le principe fondamental de cet univers est l'autosimilarité, une mise en abyme ontologique qui instille un profond vertige. Chaque partie de l'image, si on l'agrandit, révèle une structure similaire à l'image entière. Un zoom sur une volute de gaz dévoilerait des myriades de spirales galactiques miniatures, chacune obéissant aux mêmes lois. L'univers n'a ni grand ni petit ; il est une variation infinie sur un même thème mathématique. Cette récursivité brouille la frontière entre l'observateur et l'observé, suggérant que le cosmos et la conscience qui le perçoit sont faits de la même étoffe.
La lumière elle-même défie la physique classique. Elle n'émane d'aucune source, d'aucune étoile. Elle est une propriété endogène de la géométrie, une qualité intrinsèque de l'algorithme. La lumière est la scène. Les couleurs ne sont pas des reflets, mais des indicateurs de comportement mathématique : un bleu profond pour une convergence lente, un rouge incandescent pour une divergence explosive. Il en résulte un éclairage impossible, des iridescences sans cause et des lueurs qui semblent sourdre de la matière elle-même, créant un monde sublime et claustrophobique, sans ombres franches, où la seule vérité est celle, immanente, de l'équation qui le gouverne. Cet environnement est à la fois l'objet de la quête, la source du danger et la récompense potentielle ; un antagoniste unique et multiforme
Prompt: La scène s'ouvre sur un abîme qui est à la fois océan et cosmos, une toile vivante dont la substance même est une formule mathématique infinie. Ce n'est pas un décor, mais une entité fondamentale, un fluide cosmique dont la dynamique est régie par des algorithmes fractals complexes. Les grandes structures, vagues lentes de gaz et de poussière, naissent de variations de l'ensemble de Mandelbrot. Leurs contours, d'une complexité inépuisable, dessinent des archipels de nébuleuses aux couleurs abyssales : des bleus de méthane liquide, des violets profonds d'hydrogène ionisé, ponctués d'éclats cuivrés de supernovas lointaines. Des filaments de poussière, semblables à des algues phosphorescentes, tissent des dentelles de matière, tandis que les tourbillons hypnotiques des ensembles de Julia marquent les tempêtes de cet océan, des maelströms où l'espace-temps se replie sur lui-même.
Le principe fondamental de cet univers est l'autosimilarité, une mise en abyme ontologique qui instille un profond vertige. Chaque partie de l'image, si on l'agrandit, révèle une structure similaire à l'image entière. Un zoom sur une volute de gaz dévoilerait des myriades de spirales galactiques miniatures, chacune obéissant aux mêmes lois. L'univers n'a ni grand ni petit ; il est une variation infinie sur un même thème mathématique. Cette récursivité brouille la frontière entre l'observateur et l'observé, suggérant que le cosmos et la conscience qui le perçoit sont faits de la même étoffe.
La lumière elle-même défie la physique classique. Elle n'émane d'aucune source, d'aucune étoile. Elle est une propriété endogène de la géométrie, une qualité intrinsèque de l'algorithme. La lumière est la scène. Les couleurs ne sont pas des reflets, mais des indicateurs de comportement mathématique : un bleu profond pour une convergence lente, un rouge incandescent pour une divergence explosive. Il en résulte un éclairage impossible, des iridescences sans cause et des lueurs qui semblent sourdre de la matière elle-même, créant un monde sublime et claustrophobique, sans ombres franches, où la seule vérité est celle, immanente, de l'équation qui le gouverne. Cet environnement est à la fois l'objet de la quête, la source du danger et la récompense potentielle ; un antagoniste unique et multiforme
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Prompt:
La scène s'ouvre sur un abîme qui est à la fois océan et cosmos, une toile vivante dont la substance même est une formule mathématique infinie. Ce n'est pas un décor, mais une entité fondamentale, un fluide cosmique dont la dynamique est régie par des algorithmes fractals complexes. Les grandes structures, vagues lentes de gaz et de poussière, naissent de variations de l'ensemble de Mandelbrot. Leurs contours, d'une complexité inépuisable, dessinent des archipels de nébuleuses aux couleurs abyssales : des bleus de méthane liquide, des violets profonds d'hydrogène ionisé, ponctués d'éclats cuivrés de supernovas lointaines. Des filaments de poussière, semblables à des algues phosphorescentes, tissent des dentelles de matière, tandis que les tourbillons hypnotiques des ensembles de Julia marquent les tempêtes de cet océan, des maelströms où l'espace-temps se replie sur lui-même.
Le principe fondamental de cet univers est l'autosimilarité, une mise en abyme ontologique qui instille un profond vertige. Chaque partie de l'image, si on l'agrandit, révèle une structure similaire à l'image entière. Un zoom sur une volute de gaz dévoilerait des myriades de spirales galactiques miniatures, chacune obéissant aux mêmes lois. L'univers n'a ni grand ni petit ; il est une variation infinie sur un même thème mathématique. Cette récursivité brouille la frontière entre l'observateur et l'observé, suggérant que le cosmos et la conscience qui le perçoit sont faits de la même étoffe.
La lumière elle-même défie la physique classique. Elle n'émane d'aucune source, d'aucune étoile. Elle est une propriété endogène de la géométrie, une qualité intrinsèque de l'algorithme. La lumière est la scène. Les couleurs ne sont pas des reflets, mais des indicateurs de comportement mathématique : un bleu profond pour une convergence lente, un rouge incandescent pour une divergence explosive. Il en résulte un éclairage impossible, des iridescences sans cause et des lueurs qui semblent sourdre de la matière elle-même, créant un monde sublime et claustrophobique, sans ombres franches, où la seule vérité est celle, immanente, de l'équation qui le gouverne. Cet environnement est à la fois l'objet de la quête, la source du danger et la récompense potentielle ; un antagoniste unique et multiforme
Modifiers:
focused
Ray Caesar
Salvation
velvety, tropical, rocky
human loss function/emotion loss function
fractal continuum hypothesis/post-humanist discontinuity hypothesis
theorem of subjective incompleteness/theorem of objective absurdity
geopsychological matrix
geopsychological axiom/sepia axiom
cognitive transfiguration/chimerical transfiguration
retrofuturistic graphics switching
anachronistic algorithmic dynamics
digital palimpsest
noetic asymptote
cognitive helicity/holographic helicity/helical coherence/holoscopic recursion
logogram
semantic architectonics/recursive autogenesis/generative arche
Dream Level: is increased each time when you "Go Deeper" into the dream. Each new level is harder to achieve and
takes more iterations than the one before.
Rare Deep Dream: is any dream which went deeper than level 6.
Deep Dream
You cannot go deeper into someone else's dream. You must create your own.
Deep Dream
Currently going deeper is available only for Deep Dreams.